La main, chaude, se pose entre les omoplates. Elle descend le long de la colonne vertébrale , un doigt de chaque côté, appuyant pour soulager les tensions. Le mouvement s’arête à la pointe de la colonne pour remonter jusqu’à la nuque. Les deux mains à plat font des cercles vers l’extérieurs autours des omoplates. Le corps se relâche de plus en plus. Lorsqu’il est pleinement détendu, les mains se posent sur les fesses et les massent avec une certaine pression. Ce qui les écarte par moment, découvrant et assouplissant les deux trous appétissants. Les jambes s’ouvrent spontanément et la main se glisse entre elles. Les doigts longent la fente dans un aller-retour variant en intensité tandis que le pouce assoupli progressivement l’anus. La pointe du gland prend le relai et pousse doucement l’entrée du cul. Le sexe entre lentement, très lentement, tandis que le bras contourne les hanches, qui, comprenant l’objectif, se soulèvent pour laisser passer la main qui vient se poser sur le clitoris. Le sexe est maintenant entièrement dans le cul et la main frotte vigoureusement le clito. Le sexe bouge intensément en même temps que la main pour finir par se répandre à l’intérieur du cul.

Tu marches devant moi calmement. Je regarde ton cul qui se balance et je suis déjà excité par la suite. Excité quoique tendu également. Je n’ai jamais fait ça. Je sais exactement quel chemin tu vas emprunter et plus on se rapproche du lieu, plus je suis excité. C’est fou, je bande déjà et en même temps, j’ai les mains moites, la gorge serrée, le souffle court.

Tu tournes à droite, comme prévu, dans cette petite ruelle étroite. Leonard et Kate sont là. J’accélère le pas et lorsque tu arrives à leur hauteur, je suis tout près de toi. Soudain, iels te font face. Je me colle dans ton dos, pose une main sur ta bouche pour te garder silencieuse et immobilise tes bras. Je te bascule en arrière pendant que Leonard se saisit de tes jambes. Tu te débats, en vain. On se glisse rapidement dans l’immeuble et on t’entraîne au sous-sol.

La pièce est sombre, juste éclairée par une ampoule nue. Je sens ton cœur battre fort dans ta poitrine. Très habilement, Leonard et Kate t’attachent à une croix en X et te bâillonnent à l’aide d’un foulard. Tu es là, face à moi, totalement impuissante. Toustes les trois, nous te regardons longuement pour te laisser le temps de prendre la mesure de ce qui t’arrive.

Leonard et Kate s’assoient chacun.e sur un fauteuil et me laissent le champ libre. Je m’approche de toi en te fixant dans les yeux. Je retire un à un tes vêtements que je dois déchirer à cause de tes liens. Je prends une paire de ciseaux pour couper ton soutien-gorge et ta culotte en prenant soin d’appuyer le métal froid de la lame contre ta peau. Je me recule pour admirer ton corps et ton extrême vulnérabilité. Ton souffle inquiet m’excite. Tu sais que tu ne pourras te soustraire à rien.

Je m’approche et commence par passer ma main doucement sur tout ton corps. Je caresse ton visage et enfile mon pousse dans ta bouche. Avec le bâillon, cela te fait baver. J’empoigne tes seins et pince tes tétons sur lesquelles je tire pour éprouver leur élasticité. Je descends doucement ma main le long de ton ventre, toujours en te fixant intensément, et je caresse l’intérieur de tes cuisses avant de venir poser ma main à plat à l’entrée de ton sexe. Tu es trempe, Camille. Je pousse légèrement mon majeur contre tes lèvres et il entre tout seul en toi. Je glisse alors un deuxième, puis un troisième doigt. Je crois deviner un gémissement. J’attrape alors sur le côté un petit martinet et commence à donner des petits coups sur ton clitoris. J’augmente l’intensité des coûts et tu laisses échapper des cris qui semblent être à moitié de douleur, à moitié de plaisir. Je frappe alors tes seins avec la même graduation d’intensité. À ce moment, Kate pause sa main sur mon épaule. Je tourne la tête et vois qu’elle est entièrement nue. D’un geste de la tête, elle me fait signe de m’écarter. Je vais alors m’asseoir là où tu étais assise, ce qui me permet de constater que Léonard également est nu. Sa queue est impressionnante de largeur et de longueur. Il bande vigoureusement et se caresse en te regardant. Kate s’accroupit et commence à te lécher. Ses jambes sont très écartées et elle se caresse pendant qu’elle te lèche. Entre-temps, je me suis également déshabillé et je me branle en vous regardant.

Kate se relève et actionne un mécanisme qui fait que la croix sur laquelle tu es attachée pivote et tu te retrouves en position horizontale. Kate prend un tube de lubrifiant et s’en badigeonne copieusement la main. Entre tes jambes, elle te caresse la chatte, permettant au lubrifiant de se déposer sur tes lèvres. Kate entre ensuite ses doigts l’un après l’autre en toi. Méticuleusement, elle prend la peine de t’assouplir le vagin pour finir par avoir la main en toi. Cette fois-ci tes gémissements sont clairement des gémissements de plaisir. Le plaisir de la tension importante à laquelle ta chatte est soumise. A ce moment-là, Leonard se lève et se positionne à côté de ta tête. Il retire ton bâillon et sans te laisser le temps de dire quoi que ce soit t’enfile sa grosse queue dans la bouche. Son épaisseur déforme tes lèvres et lorsqu’il commence à te baiser la bouche, tu peine à respirer. Te voilà remplie comme jamais.

Je vous rejoins et te place sur les tétons des pinces en métal. Tu halètes, au bord de l’implosion. Je viens me placer entre tes jambes. Kate retire sa main et détache tes chevilles. Je pose tes mollets sur mes épaules, répand un peu de lubrifiant sur ma queue et à l’entrée de ton cul. Je pose la pointe de mon gland contre ton anus et je pousse jusqu’à ce que je sois entièrement en toi. Kate te frotte vigoureusement le clitoris, agrémentant le tout par des claques. Tu enchaînes les orgasmes. Et si tu n’étais pas attachée, tu t’écroulerais probablement de fatigue.

Sur un signe de tête de Leonard, je vais m’allonger par terre. Leonard te détache mais te tient fermement. Il te dépose sur moi, allongée sur le dos. Mes bras immobilisent les tiens. Leonard dirige ma queue dans ton cul, puis enfile la sienne dans ta chatte. Je sens son énorme bite à travers la paroi fine de ton vagin. Je bouge à peine, déjà mis en mouvement par les coups secs et violents de Leonard. Tu as à peine le temps de gémir que Kate vient s’asseoir sur ton visage. Elle se frotte vigoureusement contre toi tout en attrapant la chaîne qui relie les pinces et tire dessus pour éprouver tes tétons déjà trés sensibles.

Ta bouche pleine de la chatte juteuse de Kate laisse tout de même échapper des râles bruyants. Leonard se retire et te pousse sur le côté. Nous nous approchons de toi, Kate se place au milieu de nous et nous branle, orientant notre queue en direction de tes seins. Tu gis au sol, exténuée. Je suis le premier à te jouir dessus suivi rapidement par Leonard. C’est à ce moment, ton corps couvert de sperme, que je te souhaite un joyeux anniversaire mon amour.

Je remercie Kate et Leonard de l’entreprise Titanic Inc. et te rejoins au sol pour te blottir dans mes bras. J’espère que tu as aimé.

Nous ne sommes plus amants depuis bien longtemps, mais le désir persiste. Nous avons chacun.e un couple épanoui, mais à chaque fois que l’on se voit, on joue à se frôler ou à appuyer nos regards.

Ce matin, lorsque mon smartphone a vibré, c’était un appel visio de sa part. Intrigué, j’ai décroché mais je n’ai vu que sa chambre vide. J’ai entendu du bruit au loin et j’ai donc attendu.

Après quelques secondes, je l’ai vue sortir d’une pièce qui devait être la salle-de-bain. Elle était en peignoir. Elle s’est avancé timidement pour finalement me faire face, par écrans interposés. J’étais ému par cette intimité. Elle s’est assise sur le rebord du lit et a prononcé un timide bonjour. J’ai souris, rempli de désir et de curiosité.

« Depuis mon bébé, mon corps à changé. J’ai peur de ton regard sur moi. Je sais que quand on se voit le magnétisme est toujours là. Mais j’ai l’impression que tu fantasmes une ancienne moi. Je voudrais que tu saches à quoi je ressemble maintenant, même si cela doit rompre la tension érotique qu’il y a entre nous. Et s’il-te-plait, ne dis rien jusqu’à la fin. »

J’ai hoché de la tête et lui ai offert mon sourire le plus bienveillant. Elle a défait lentement le nœud de ceinture du peignoir. Elle a découvert lentement ses épaules. Elle a écarté les pans du tissu et fait apparaître ses seins. Je me rappelle que j’aimais beaucoup ses seins. Leur forme, la couleur des aréoles, les tétons. J’avais l’impression qu’ils avaient en effet un peu changé, sans en être vraiment sûr. Ce qui était sûr, par contre, c’est qu’ils me plaisaient beaucoup tels qu’ils étaient maintenant. Et j’ai senti l’excitation monter. Cela a dû se voir sur mon visage car elle a souri.

Mon corps aussi a changé. Je fais moins de sport et donc je suis plus « flasque » et j’ai pris un peu de ventre. J’ai donc décidé de retirer ma chemise également, dans un soucis d’équité. Même si, de mon côté, je n’avais aucune envie de rompre la tension érotique qu’il y a entre nous lorsqu’on se voit.

Mon geste l’a surprise, mais positivement apparemment. Elle s’est levée et a retiré entièrement son peignoir. Bon sang ce qu’elle est belle ! Elle s’offre à mon regard en scrutant mes réactions. La peau de son ventre est un peu détendue. Je devine la cicatrice de sa césarienne. Elle a des vergetures sur les hanches. Plus je la regarde, plus je la désire. Elle se retourne et montre ses fesses, son dos. C’est confirmé, c’est un être humain normal. Et elle reste dans la catégorie des êtres humains qui me plaisent beaucoup. Vraiment beaucoup.

Lorsqu’elle se retourne, je suis nu et je bande terriblement. Nos regards suffisent pour comprendre. Elle commence alors à caresser ses seins. j’attrape ma queue et me branle doucement. On se caresse chacun face à l’autre en se scrutant. J’aime voir le désir dans ses yeux et je crois qu’elle aime voir mon désir dans les miens. Elle écarte bien ses jambes car elle sait à quel point j’aime son sexe, ses grandes lèvres, ses petites lèvres, son humidité. Elle se branle vigoureusement et gémit, mais sans fermer les yeux. Ses yeux qui ne quittent plus ma queue. Je me branle vigoureusement et gémis, mais sans fermer les yeux. Mes yeux qui parcourent son corps de ses yeux à son sexe en passant par ses seins. Je ralentis un peu mes mouvements de va-et-vient pour l’attendre.

Ses gémissements augmentent en intensité, signe que je peux reprendre mon rythme initial. Je ne peux m’empêcher de lâcher un Putain, tu m’excites tellement. Cette petite phrase fait apparemment son effet puisqu’elle semble partir dans un orgasme puissant. Orgasme qui fait son effet puisqu’à mon tour j’éjacule loin, les jambes chancelantes.

Elle m’a ensuite envoyé un baiser avant de se déconnecter. Je me demande ce qui va se passer dans l’avenir? Allons-nous redevenir amants? Ou simplement conserver cette tension érotique, redynamisée par cette séance?

Le language a la saveur du réel. C’est pourquoi, au moins chez moi, le mot « sein », par exemple, provoque immédiatement une excitation. Quoique, peut-être pas le mot « sein » tout seul, comme ça. Ajoutons-lui un qualificatif : « sein nu ». Vous le voyez ce sein nu ? Il a la taille, il a la forme que vous voulez. Et donc, forcément, il vous plait, il vous excite. Non ?

Le language a la force de l’évocation. Pas besoin de préciser que le sein est nu, il suffit de le suggérer. Regardez cette phrase : elle souleva son t-shirt pour me montrer ses seins. Là, vous avez à la fois le sein nu, et il a toutes les caractéristiques physiques qui vous excite, mais vous avez également le visage de la femme, évidemment belle, belle pour vous et donc sûrement pas de la même manière que pour moi. Vous avez peut-être toute la forme de son corps, le geste pour soulever son t-shirt. Sa manière qu’elle a de vous regarder, avec du désir dans les yeux, ou du défi, ou encore une simple sourire taquin. Cette histoire vous appartient, elle n’est suggérée que par neuf mots , mais elle prend pleinement vie dans votre imagination, avec vos goûts, avec vos fantasmes, avec votre histoire.

Lorsque j’écris ces mots : elle souleva son t-shirt pour me montrer ses seins, je ne peux m’empêcher de te voir toi. Toi qui partage ma vie depuis si longtemps. Toi qui ne fais pourtant jamais ce geste. Toi que je désire encore, même si je désire aussi d’autres corps, même si j’ai le droit d’accéder à d’autres corps. Peut-être même parce que j’ai ce droit et que toi aussi, tu as ce droit. Alors, quand j’écris ces mots, c’est toi que je vois et je bande. Je bande assis sur la banquette du train. Et j’aime bander comme ça au milieu des gens qui ne savent pas. Ils ne savent pas que je pense à toi et surtout, ils ne savent pas que je bande.

J’aime sentir mon sexe gorgé de désir. J’aime laisser mon imagination se promener dans des paysages érotiques. Je me demande si ça se voit. Mon érection, évidemment. Mais aussi le désir dans mes yeux. Est-ce que ça excite quelqu’un autours de moi?

Mon écriture est stoppée par la contrôleuse que je vois regarder en direction de mon carnet pendant que je cherche mon billet et qui me fait un grand sourire lorsque je le lui tends. N’aller pas imaginer que je vais tomber dans la facilité et vous faire croire que je suis allé baiser la contrôleuse dans les WC. Mais vous aura raison, la contrôleuse nous rejoint dans mon imagination. Elle s’approche de toi et retire entièrement ton t-shirt, elle attrape tes seins lourds (désolé si vous aviez imaginer des petits seins, mais je ne peux pas trahir le réel !) et les caresse avec passion. Je pourrais vous rejoindre, mais je suis un voyeur et ma position dans ce fantasme non seulement me convient bien (c’est quand même mon fantasme) mais reproduit assez bien ma position dans ce train.

Bref. Elle attrape tes seins et t’embrasse avec passion. Tu lui retires sa veste de contrôleuse ainsi que sa chemise. Elle ne porte pas de soutien-gorge (j’adore cette idée…) et a de magnifiques petits seins pointus (ne me dites pas merci).

L’imagination est comme le rêve et ne s’embarrasse pas (toujours) de vraisemblance. Tu es donc entièrement nue sur le lit, les jambes repliées et écartées. La contrôleuse est nue aussi. Elle te lèche la chatte, je le sais à tes gémissements. car je ne vois que son cul. Je suis nu aussi et je me caresse en vous admirant. Je m’approche (enfin ?) et pénètre la contrôleuse (je vous laisse choir où). Je te regarde prendre du plaisir, je regarde tes seins tant aimés et je m’agite dans la contrôleuse. Lorsque j’entends sa vraie voix annoncer l’imminence de mon arrêt, je sais que je dois accélérer ce texte. Elle glisse alors une main entre ses jambes pour me caresser les couilles, elle « sait » que c’est imparable, et lorsque le train ralenti, nous jouissons les trois en même temps (je vous rappelle que c’est mon histoire !).

Zut, je n’ai pas le temps d’écrire la fin, je dois vite ranger mon carnet et desc…

Le soleil se lève à peine que je suis déjà en selle. J’aime tellement commencer ma journée par une balade à cheval. Les montagnes au loin sont encore dans l’ombre tandis que le ciel est d’un rose magnifique. Je longe la route qui quitte les écuries pour me rendre en forêt. Seul le bruit des sabots sur l’asphalte arrive à mes oreilles. le son régulier que je connais depuis si longtemps m’apaise et me met dans un état de semi-transe. Je me sens si bien.

Me voilà arrivé à l’orée de la forêt. Je prends le chemin carrossable sur la droite, celui qui débouche sur un petit sentier en terre sur lequel je vais pouvoir galoper. Zut, je distingue au loin une voiture qui bloque l’entrée de ce chemin. Je sens la frustration, puis la colère monter en moi. Je m’approche de la voiture avec un regard noir. Je sais que cette colère ne sert à rien, son ou sa propriétaire doit profiter tranquillement de l’air frais du matin en compagnie de son chien.

Tiens, il semble y avoir quelqu’un dans la voiture. Je crois distinguer, au volant, un homme. Il ne perd rien pour attendre. A la hauteur de la voiture, la surplombant de ma hauteur de cavalier, je devine la tête d’une femme entre ses jambes. Saisi par la surprise, ma colère s’envole, laissant la place à un léger malaise dans un premier temps, puis par une excitation nourrie par mon côté voyeur. Je décide néanmoins de continuer ma balade lorsque j’entends la fenêtre de la voiture descendre. Il me semble entendre la femme dire: il me plaît. Je fais comme si je n’avais rien vu ni entendu lorsque l’homme me lance : ça te plait ce que tu as maté ? Je lâche un oui hésitant. A ce moment-là, je vois une webcam qui filme mon cheval. L’homme continue : on est en live sur MYM, tu veux te joindre à nous ? Mon cerveau me hurle un grand oui tandis que ma bouche reste fermée.

L’homme et la femme descendent de voiture. Je remarque qu’il a eu le temps de remettre son pantalon. Elle a de longs cheveux châtains, un robe à fleur. Elle ne porte pas de soutien-gorge et je vois ses petits seins pointus à travers le tissus. L’homme me dit, la caméra dans la main: Ne t’inquiète pas, je ne filme pas ton visage. Si tu es d’accord, je te laisse baiser ma femme pendant que je vous filme. Ou plutôt, tu la laisses s’occuper de toi. Est-ce que ça te va? Si tu es ok avec ça, je vais sûrement me branler en vous regardant. Je descends de cheval et lui enlève sa bride. Je sais qu’il ne partira pas avec toute cette belle herbe qui longe le chemin. Son plaisir sera culinaire pendant que le mien sera charnel.

La femme s’approche de moi et m’embarsse fougueusement. Wow, quelle liberté! Elle pose sa main sur ma queue déjà toute dure et lâche un Mmmmmmh flatteur. Ma queue n’a rien d’excpetionnel, mais elle sait y faire pour me mettre à l’aise! Elle déboutonne mon pantalon, s’accroupi et commence à me sucer et me caressant les couilles. Sa langue est habile, ses mains douces. Elle attrape mes fesses et pose un doigt à l’entrée de mon cul. Elle me regarde: Je peux? Je lui dit que oui et elle le glisse à l’intérieur. Putain, c’est trop bon et si inattendu de se faire sucer par une inconnue dans la forêt qui en plus me mets et doigts dans le cul! Je jette un oeil à son mari qui en effet se branle. Bon sang, sa queue est énorme! Elle va être déçue de me sentir en elle… Cette pensée me fait mollir un peu, et cette sensation me panique. Merde, je n’assure pas! La spirale infernale s’emablle et je débande. Merde, merde, merde. Elle se relève et me dit: Je ne te plais pas? Je lui réponds que oui, beaucoup, mais que j’ai vu la queue de son mari et que ça m’a fait paniquer. Elle rigole en me disant de ne pas m’inquiéter. Elle remonte sa robe et je vois qu’elle ne porte en fait aucun sous-vêtement. Elle a une belle toison de laquelle dépassent de très grandes lèvres. Cette particularité a le don de m’exciter beaucoup et ça ne manque pas, je bande à nouveau. Je vois son sourire satisfait. On dirait que ma chatte te plaît? Viens la bouffer si tu veux. Elle s’allonge sur la banquette arrière et remonte haut ses jambes dans une position que je trouve très cochonne car très vulnérable. Je vois son petit trou et sa fente poilue. Je m’agenouille à mon tour et commence à sucer ses lèvres. Ca m’excite tellement. Je la lappe, glisse mes doigts en elle. Elle gémit, me dit: Encore un doigt. Et voilà le troisième. Je tente un quatrième, elle gémit plus fort. N’oublie pas mon cul! Pendant que je remplis sa chatte, je commence à lui lécher l’anus. Elle gémit plus fort. Je lui glisse maintenant un doigt dans le cul. Vas-y, remplis moi, me dit-elle. Moi voilà avec deux doigts dans son cul et quatre dans sa chatte! (j’ai deux mains, je vous vois douter…) Wow, j’ai jamais fait un truc pareil et avec ses lèvres qui entourent mes doigts la vue est incroyablement excitante. Je réalise plusieurs fantasmes d’un coup. Je sens qu’elle va jouir et je redouble d’effort pour lui permettre d’y arriver au mieux. Elle gémit de plus en plus fort et j’entends son mari faire de même. Juste avant de jouir, elle me repousse vigoureusement, sort de la voiture et me prend par la main. Elle se dirige vers son mari, se penche en avant et s’empale sur son énorme queue. Dans le même mouvement elle engloutit la mienne et me suce avec vigueur. Je jouis très vite puissamment en elle. Elle jouit au moment où elle sent mon sperme se répandre au fond de sa gorge. Son mari, apparemment endurant, ressort de sa femme et commence à l’enculer. Je pensais pas que sa queue pouvait entrer, mais en fait oui. Cela a pour effet de prolonger son orgasme à elle. Son mari me tent la caméra et voilà que je réalise un autre fantasme encore, le réalisateur de film X!

Il y a moins d’une demi-heure, je me promenais dans les bois à cheval et me voici la bite à l’air en train de filmer un couple en live sur MYM. De manière surprenante, je me mets à bander à nouveau. Madame le voit et me demander de m’allonger au sol. Elle vient s’asseoir sur ma queue qui apparemment est suffisante pour lui provoquer des gémissements tandis que son mari place ses pieds de chaque côté de ma tête pour se faire sucer. Il finit enfin par jouir dans sa bouche ce qui provoque un nouvel orgasme pour madame. Son sexe se serre si fortement qu’e’à mon tour, je jouis en elle. On était pas loin de l’orgasme simultané à trois!

Le couple me remercie, me donne le nom de leur MYM (vais-je m’y abonner?) et je pars chercher mon cheval qui, comme je le pensais, est à quelques mètres de là, le nez dans l’herbe! Je remonte en selle et réussi à me faufiler derrière la voiture pour enfin faire le galop prévu. Je crois que je vais me souvenir longtemps de cette balade!

Je pars en Allemagne dans six semaines maintenant. J’ai un de mes derniers cours d’allemand ce soir et j’ai demandé à ma prof qu’on aborde le langage de l’amour, en espérant qu’il me soit utile.

Lorsque j’arrive, elle est vêtue d’un pantalon noir et d’une chemise blanche légèrement transparente qui laisse deviner son soutien-gorge noir. La chemise est déboutonnée afin de lui faire un incroyable décolleté. Je l’ai toujours trouvée belle, mais aujourd’hui, je la trouve en plus incroyablement sexy et j’ai immédiatement envie d’elle. Son regard est intense, j’adore ses cheveux flamboyants et elle semble avoir un corps magnifique.

J’ai de la peine à dissimuler mon désir. Il se voit à mes joues, dans mes yeux et surtout à mon sexe qui fait une bosse sous mon jeans.

A peine avons-nous commencé le cours que je vois ses yeux se poser entre mes jambes. Elle s’arrête au milieu d’une phrase, comme gênée. J’espère qu’elle ne va pas me mettre à la porte ! Elle se lève et s’assied sur la table face à moi en me disant : je te propose un autre type de cours aujourd’hui si tu es d’accord. Aucune ambiguïté possible me semble-t-il ! Je lui réponds un grand oui. Elle retire alors son pantalon, son slip et se rassied sur le coin de la table, les jambes grandes écartées. Je suis hypnotisé par son sexe sublime. Elle me dit : regarde, là, ce sont les grandes lèvres. Pendant qu’elle le dit, elle passe ses doigts dessus. Elle écarte ses lèvres et me dit : là, ce sont les petites lèvres. Je vois son sexe s’humidifier. C’est très excitant et je bande très fort. Toujours en utilisant ses doigts pour me faire la visite, elle ajoute : et là, c’est la partie visible du clitoris. Je bois ses paroles. Elle me dit ensuite : pose ta langue sur ma fente. Je m‘exécute. Son sexe a un goût délicieux. Je glisse ma langue en elle, mais elle m’arrête : pas si vite ! Lèche-moi doucement de haut en bas, la langue bien à plat sur les grandes lèvres. Maintenant, éloigne-toi et joue avec l’intérieur de mes cuisses. Avec ton doigts, caresse doucement mon clito. Viens à nouveau sur mon sexe. Suce-le, aspire-le. Ecarte mes lèvres avec tes doigts. Glisse ta langue en moi. Suce mon clitoris et en même temps glisse deux doigts en moi. Fais bouger tes doigts à l’intérieur tout en continuant de lécher mon clito. Vas-y continue. Explore-moi méticuleusement. Soudain, elle ne dit plus rien, mais soupire de plus en plus fort, tout en posant ses mains dans mes cheveux, pour me guider, mais aussi pour s’agripper. Les soupirs se font gémissement et les gémissements se font cris. Elle finit par jouir dans ma bouche.

Je la laisse reprendre ses esprit et lui propose : veux que je te donne un cours de fellation ?

J’ai reçu une photo. Et une demande: Je trouve que l’image mérite un petit texte de ta part… que ce soit à partir de l’image même ou de sa réception. Voici le texte à partir de l’image même. Celui à partir de sa réception est déjà publié.

Après cette très agréable soirée entre collègues, je suis surpris que tu me proposes de venir chez toi prendre un dernier verre. On sait, dans les films, ce que ça signifie. Or là, c’est impossible. Tu es en couple, je suis en couple et surtout, no zob in job. ! D’un autre côté, tu me plais terriblement et j’ai envie de prolonger nos discussions. Arrivés dans ton appartement à la décoration charmante, un peu d’Inde par-ci, un peu d’Inde par-là. Je te demande où sont les WC. Je m’y rends, me fixe d’un air sévère dans le miroir et me répète trois fois : Tu ne tentes rien, tu ne tentes rien, tu ne tentes rien. Lorsque je reviens dans le salon, mon souffle se coupe. Pendant mon absence, tu as retiré ton pantalon et tu es allongée sur le ventre, uniquement vêtue d’un tanga noir et d’un t-shirt blanc, les mains sous le menton, tu me regardes avec un sourire malicieux. Je balbutie un mais ton copain, ma copine, le travail, je , euh. Tu vois bien que mes yeux ne quittent pas tes fesses. Elles sont si belles. Tu descends ton regard et tu vois également la bosse de mon jeans. Tu te lèves et je vois que tu as également retiré ton soutien-gorge. Tes seins magnifiques pointent et le tissu blanc laisse deviner tes aréoles. Je reste figé sur place. Tu es maintenant tout près de moi. Tu poses tes lèvres sur les miennes. Cela me fait comme une décharge électrique et je me mets à t’embrasser fougueusement. Tu me déshabilles tranquillement et je sens tes mains sur moi. Je tremble encore un peu. Quelle émotion intense. Je suis entièrement nu. Tu retires ton t-shirt et je peux enfin admirer tes seins qui m’obsèdent depuis le premier jour ou tu es venue te présenter dans mon bureau. Ils sont encore plus beaux que dans mes fantasmes où, discrètement sous la douche, je me caressais en pensant à toi. Tu retires ton tanga et ton sexe est lisse comme une pomme. Tu vois mon émoi et tu prends les choses en mains. Tu vas t’asseoir au bord du lit, les jambes bien écartées et tu m’ordonnes de venir te lécher. Pendant que je m’approche, tu caresses ton clitoris. Je m’agenouille et admire ta chatte qui s’entrouvre sous l’effet de ton excitation. Puis, je plonge ma tête entre tes jambes et lape tes grandes lèvres avec la langue bien à plat. Je suce ton clito, glisse ma langue entre tes lèvres. Tu me dis : reste sur mon clito avec ta bouche et fous-moi tes doigts. Fous-moi tes doigts ? Ta manière de me parler m’excite beaucoup. Quel décalage avec la collègue douce que je connais ! Je te suce avidement le clito en te fouillant avec mes doigts. Mets-en moi un dans le cul. Oui, madame ! Tu ne tardes pas à jouir une première fois et c’est trop bon de te voir.
Allonges-toi sur le lit. Tu viens ensuite poser un genou de chaque côté de mes oreilles et tu t’assieds sur mon visage. Ta chatte à le goût intense de ton premier orgasme. Je bois ton plaisir. Je sens soudain ta main agripper ma queue et caresser mes couilles. Tu t’agites au-dessus de moi en faisant des râles très sonores. Apparemment, tu t’en fous des voisins. Je n’ai jamais été aussi excité ! Je te sens venir un deuxième fois et lorsque ta main se crispe violement sur mon sexe je jouis en même temps que toi. Tu t’écroules sur moi et nous restons ainsi, peau contre peau, de longues minutes.

J’ai reçu une photo. Et une demande: Je trouve que l’image mérite un petit texte de ta part… que ce soit à partir de l’image même ou de sa réception. Voici le texte à partir de sa réception. Celui à partir de l’image suivra.

Je sors de la douche, un linge autour de la taille. J’attrape mon téléphone, trois messages. Le groupe famille, un pote et toi. Ou plutôt tes fesses. Réaction immédiate. Je vais me poser sur mon lit pour en profiter pleinement. Une foi bien installé, posé sur le linge, le sexe en chemin vers l’érection complète, je scrute l’image. Wow, quelles formes magnifiques ! Pendant que mon regard parcourt ta photo, ma main droite descend lentement entre mes jambes. Je remarque malgré tout le Bouddha et je souris. Mais très vite je reviens à tes fesses. Mes yeux passent de l’extrémité gauche à l’extrémité droite et au moment du passage de la culotte qui disparait entre tes fesses, mon sexe atteint son maximum. Ma main le branle doucement. Je me perds en imagination. Soudain je suis assis là, prêt de ta tête afin d’avoir exactement cette vue sur ton cul. Je pose mes mains sur tes côtes et fais remonter ton t-shirt blanc. Je prends soin de caresser la partie accessible de tes seins. Je bande terriblement et sur mon lit, je me branle déjà plus fort. Je sens ta bouche qui me cherche, mais je te demande d’abord de retirer ta culotte. J’aime voir tes fesses monter pour t’exécuter, j’aime voir ton sillon fessier et ton cul. Je ne vois juste pas ta fente que j’espère trempe. Tu reviens dans ta position initiale et ne me laisse plus le choix. Tu attrapes ma queue et l’engloutis au fond de ta bouche. Dans mon lit, ma main se fait douce pour simuler ta fellation. Je suis très très excité. Mon imagination se libère des contraintes physiques et pendant que tu me suces, je peux m’occuper de tes fesses. Une claque d’abord, puis je les écarte. Je passe un doigt entre tes fesses jusqu’à ton sexe. Il est en effet mouillé, très mouillé. Je glisse un doigt, puis deux et finalement un troisième pendant que mon pouce cherche l’entrée de ton cul. Je ressors mes doigts, trempes, pour lubrifier ton petit trou avec ta mouille. Les trois doigts retournent fouiller ta chatte et mon pouce entre dans ton cul très facilement. Je te branle fort. Sur mon lit, je me branle fort. Puis, je me lève, contourne ton lit et glisse un coussin sous tes hanches, ce qui me permet d’accéder facilement à tout ton entre-jambe. Je plonge alors ma tête en tes fesses et te lèche méticuleusement le cul, la fente et le clito. Là où la langue n’est pas, il y a un ou deux doigts et j’alterne ainsi tes trous. J’aime le gout de ta chatte, j’aime le gout de ton cul. Je me redresse et pose la pointe de mon gland à l’entrée de ton sexe. Tu es si excitée que ma queue entre toute seule. Je reste pourtant à l’entrée, à peine en toi. J’ai envie, pour ma première fois, de t’enculer, toi. Et toi ? Tu gémis et pousse ton cul contre ma bite. Le cœur battant j’entre alors lentement entre tes fesses. C’est différent, c’est bon, c’est excitant, très excitant. Surtout parce que c’est la première fois, surtout parce que c’est toi. Je sens que je vais jouir, mais je ne veux pas jouir là, et surtout pas avant toi. Je ressors alors et après avoir nettoyé mon sexe, j’ai lu qu’il fallait le faire, je te pénètre profondément. Je me penche pour passer mon bras autours de toi et ainsi frotter ton clito. Je bouge en toi en observant tes réactions afin de trouver l’intensité juste et les mouvements justes pour t’offrir un orgasme puissant et sonore. J’aime entendre ton plaisir. Je te demande alors de te retourner. Je veux te regarder dans les yeux en jouissant. Je veux aussi pouvoir voir tes seins et ta chatte. Tu t’assieds au bord du lit, les jambes écartées. Je m’approche. Tu attrapes ma queue d’une main et mes couilles de l’autre. Tu me branles lentement. Je te regarde me branler. Dans mon lit, je fais de même, une main sur le sexe, une main sur les couilles et les yeux sur la photo du téléphone. Je soupire, fort, je gémis et mon foutre se répand dans un jet saccadé sur tes seins. Dans mon lit, mon orgasme est puissant, intense, terriblement bon. Je me réjouis déjà de la prochaine photo.

Aurélie, elle est toute en courbes harmonieuses.
Et quel que soit l’angle avec lequel on la regarde, on ressent du désir.
Aurélie, elle a le charme désuet d’antant.
Avec ses lèvres pulpeuses peintes en rouge flamboyant, et son beret assorti.
Quand elle me regarde depuis derrière ses lunettes, j’ai trop envie de l’embrasser.
Et quand elle me tourne le dos, j’ai trop envie de l’embrasser (mais ailleurs…)

L’intensité de son regard sublime sa beauté.
Et son sein magnifique appelle le baiser.

LE baiser? LES baisers! La succion, la morsure. L’envie de le lécher. De l’aspirer.
L’envie de la déshabiller avec precipitation, déjà tout excité par sa sensualité.
L’envie de plonger entre ses jambes et de m’abreuver à son jus odorant.
Y glisser ma langue, mes doigts. Titiller le clitoris. Explorer l’elasticité de son sexe, de son cul.
Admirer ses courbes dans diverses positions. Voir ses seins pendre, son cul offert.
Tenter de la combler de diverses manières. Avec ma bouche, avec mes mains, avec ma queue.
Provoquer diverses réactions. Des soupirs, des gémissements, des cris.

Aurélie, on a envie de la satisfaire pleinement, fougueusement. De combler tous ses désirs, tous ses fantasmes. D’être tout à son plaisir. De lui appartenir.

Mon smartphone vibre. Tiens, un message de ma collègue du bureau. Un photo de sexe écarté avec les doigts, ses doigts, et ce message: J’ai trop envie que tu me lèches la chatte. A peine ai-je le temps de le voir qu’il disparait, remplacé par Ce message a été supprimé, suivi de Giulia (Job) écrit et finalement: Pardon, erreur de manipulation 🙈. Le problème avec Whatsapp, ce sont les deux petits vus bleus… Elle sait que je l’ai vue. Giulia va revenir dans le bureau dans peu de temps, après être allée soulager un besoin urgent disait-elle. Un besoin urgent, ha ha. J’adore. Que faire? Rien. Faisons comme si de rien n’était. Giulia revient et je sens une légère gêne, même si, elle aussi, feint le RAS. Le reste de la journée se déroule presque normalement, à ce détail prêt que le sexe de Giulia apparaît dans mon esprit à plusieurs reprises, accompagné à chaque fois par une érection. Ses poils fins et courts, ses tatouages de chaque côté dans l’aine, son clitoris qui emerge entre ses doigts. Mon cerveau enflammé se perd en conjectures: et si cette erreur n’en était pas une? Et si c’était volontaire? Vu la rapidité de la réaction, je ne pense pas. Mais si c’était un acte manqué? Giulia m’a toujours paru intouchable, trop belle, trop cool, trop intelligente pour un gars comme moi. Comment aborder ce message subtilement? J’ai beau retourner ça dans tous les sens, je ne vois aucune manière de le faire sans être un gros lourd. Tant pis.

Le lendemain, à peu près à la même heure, Giulia me dit: je vais vite aux WC. Elle se met à rire et ajoute: Tu l’as vue, n’est-ce-pas? Je rougis et avoue que oui. Profitant de mon embarras, elle me demande ce que j’en ai pensé. Habile (crois-je), je lui dis que je n’ai pas eu le temps de bien voir. Et là, elle me crucifie sur place: Tu n’as pas trouvé une meilleure excuse pour me demander de te l’envoyer à nouveau? Et elle sort du bureau. Quelques minutes après, mon smartphone vibre. J’ose à peine le regarder. Giulia (Job). Photo. Deux doigts plantés bien profond, accompagné d’un J’en voudrais bien trois des tiens. Un deuxième message suit directement le premier: dès aujourd’hui, je t’envoie également les photos que je fais pour mon plan cul, t’es partant? Je réponds immédiatement: tellement! 🔥Lorsque Giulia revient dans le bureau, RAS à nouveau. Juste un petit: « à demain coquin » en fin de journée.

Au troisième jour, Giulia m’explique que son plan cul aimerait que la photo soit prise au bureau et me demande si ça me dérange. Elle ajoute: tu pourrais même la faire toi, la qualité sera meilleure et il sera intrigué. Ca me va. Giulia me passe son téléphone, va se mettre devant son bureau, baisse son jeans, se penche en avant et écarte ses fesses. Je tremble un peu, bande beaucoup et dois faire plusieurs photos pour en avoir une nette. Je vois le sexe de Giulia s’humidifier de plus en plus. Je fini par dire: c’est bon, désolé. Pas de soucis! Merci. Elle récupère son téléphone et m’envoie le message d’abord à moi avec, en légende: mon cul a besoin d’être rempli ! Ca devient difficile de me concentrer le reste de la journée.

Le quatrième jour, je n’arrive rien à faire, trop dans l’attente de l’heure fatidique. Or, il ne se passe rien. Ni après. je n’ose évidemment rien demander. En fin de journée, Giulia me propose d’aller boire un verre pour la première fois. Autours d’un café, elle m’explique que le premier message était réellement une erreur, mais qu’elle s’est rendue compte que ça l’excitait. Elle me propose de continuer si je suis d’accord. Un peu déçu, car je pensais que le café allait se terminer chez elle, je suis malgré tout d’accord et très excité par cette idée. A me réponse, elle attrape ma main et me dit: vient. Elle m’entraine dans les WC dames du bar et nous courrons nous enfermer dans une cabine. Elle sort son téléphone et me dit: Il a envie de me voir avec quelqu’un d’autre, tu en dit quoi? En guise de réponse, je l’embrasse. Attends! Elle pose son téléphone sur le rebord du lavabo, faits quelques réglages et se retourne vers moi. Elle descend mon jeans, sors ma queue et commence à me sucer. Ah wow, c’est divin. Une fois bien dur, elle descend son jeans également, se retourne et dirige ma queue en elle. Elle gémit de plus en plus fort au moment où la porte des WC s’ouvre. Malgré tout, Giulia continue de gémir lorsqu’on entend: Amusez-vous bien! Ce qui m’excite tellement que je jouis très rapidement. Giulia se retourne, se met devant le téléphone et attrape ma main pour la placer entre ses jambes. Fini-moi! Je frotte son clitoris d’une main et de l’autre glisse deux doigts dans sa chatte et le pouce dans son cul. Giulia, à son tour, jouit vite. On se rhabille. Giulia récupère le téléphone, m’envoie d’abord la vidéo et nous quittons le bar pour rentrer chacun chez soi. Lorsqu’elle me dit à demain, elle me fait un clin d’oeil qui me ravit.