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Tu marches devant moi calmement. Je regarde ton cul qui se balance et je suis déjà excité par la suite. Excité quoique tendu également. Je n’ai jamais fait ça. Je sais exactement quel chemin tu vas emprunter et plus on se rapproche du lieu, plus je suis excité. C’est fou, je bande déjà et en même temps, j’ai les mains moites, la gorge serrée, le souffle court.

Tu tournes à droite, comme prévu, dans cette petite ruelle étroite. Leonard et Kate sont là. J’accélère le pas et lorsque tu arrives à leur hauteur, je suis tout près de toi. Soudain, iels te font face. Je me colle dans ton dos, pose une main sur ta bouche pour te garder silencieuse et immobilise tes bras. Je te bascule en arrière pendant que Leonard se saisit de tes jambes. Tu te débats, en vain. On se glisse rapidement dans l’immeuble et on t’entraîne au sous-sol.

La pièce est sombre, juste éclairée par une ampoule nue. Je sens ton cœur battre fort dans ta poitrine. Très habilement, Leonard et Kate t’attachent à une croix en X et te bâillonnent à l’aide d’un foulard. Tu es là, face à moi, totalement impuissante. Toustes les trois, nous te regardons longuement pour te laisser le temps de prendre la mesure de ce qui t’arrive.

Leonard et Kate s’assoient chacun.e sur un fauteuil et me laissent le champ libre. Je m’approche de toi en te fixant dans les yeux. Je retire un à un tes vêtements que je dois déchirer à cause de tes liens. Je prends une paire de ciseaux pour couper ton soutien-gorge et ta culotte en prenant soin d’appuyer le métal froid de la lame contre ta peau. Je me recule pour admirer ton corps et ton extrême vulnérabilité. Ton souffle inquiet m’excite. Tu sais que tu ne pourras te soustraire à rien.

Je m’approche et commence par passer ma main doucement sur tout ton corps. Je caresse ton visage et enfile mon pousse dans ta bouche. Avec le bâillon, cela te fait baver. J’empoigne tes seins et pince tes tétons sur lesquelles je tire pour éprouver leur élasticité. Je descends doucement ma main le long de ton ventre, toujours en te fixant intensément, et je caresse l’intérieur de tes cuisses avant de venir poser ma main à plat à l’entrée de ton sexe. Tu es trempe, Camille. Je pousse légèrement mon majeur contre tes lèvres et il entre tout seul en toi. Je glisse alors un deuxième, puis un troisième doigt. Je crois deviner un gémissement. J’attrape alors sur le côté un petit martinet et commence à donner des petits coups sur ton clitoris. J’augmente l’intensité des coûts et tu laisses échapper des cris qui semblent être à moitié de douleur, à moitié de plaisir. Je frappe alors tes seins avec la même graduation d’intensité. À ce moment, Kate pause sa main sur mon épaule. Je tourne la tête et vois qu’elle est entièrement nue. D’un geste de la tête, elle me fait signe de m’écarter. Je vais alors m’asseoir là où tu étais assise, ce qui me permet de constater que Léonard également est nu. Sa queue est impressionnante de largeur et de longueur. Il bande vigoureusement et se caresse en te regardant. Kate s’accroupit et commence à te lécher. Ses jambes sont très écartées et elle se caresse pendant qu’elle te lèche. Entre-temps, je me suis également déshabillé et je me branle en vous regardant.

Kate se relève et actionne un mécanisme qui fait que la croix sur laquelle tu es attachée pivote et tu te retrouves en position horizontale. Kate prend un tube de lubrifiant et s’en badigeonne copieusement la main. Entre tes jambes, elle te caresse la chatte, permettant au lubrifiant de se déposer sur tes lèvres. Kate entre ensuite ses doigts l’un après l’autre en toi. Méticuleusement, elle prend la peine de t’assouplir le vagin pour finir par avoir la main en toi. Cette fois-ci tes gémissements sont clairement des gémissements de plaisir. Le plaisir de la tension importante à laquelle ta chatte est soumise. A ce moment-là, Leonard se lève et se positionne à côté de ta tête. Il retire ton bâillon et sans te laisser le temps de dire quoi que ce soit t’enfile sa grosse queue dans la bouche. Son épaisseur déforme tes lèvres et lorsqu’il commence à te baiser la bouche, tu peine à respirer. Te voilà remplie comme jamais.

Je vous rejoins et te place sur les tétons des pinces en métal. Tu halètes, au bord de l’implosion. Je viens me placer entre tes jambes. Kate retire sa main et détache tes chevilles. Je pose tes mollets sur mes épaules, répand un peu de lubrifiant sur ma queue et à l’entrée de ton cul. Je pose la pointe de mon gland contre ton anus et je pousse jusqu’à ce que je sois entièrement en toi. Kate te frotte vigoureusement le clitoris, agrémentant le tout par des claques. Tu enchaînes les orgasmes. Et si tu n’étais pas attachée, tu t’écroulerais probablement de fatigue.

Sur un signe de tête de Leonard, je vais m’allonger par terre. Leonard te détache mais te tient fermement. Il te dépose sur moi, allongée sur le dos. Mes bras immobilisent les tiens. Leonard dirige ma queue dans ton cul, puis enfile la sienne dans ta chatte. Je sens son énorme bite à travers la paroi fine de ton vagin. Je bouge à peine, déjà mis en mouvement par les coups secs et violents de Leonard. Tu as à peine le temps de gémir que Kate vient s’asseoir sur ton visage. Elle se frotte vigoureusement contre toi tout en attrapant la chaîne qui relie les pinces et tire dessus pour éprouver tes tétons déjà trés sensibles.

Ta bouche pleine de la chatte juteuse de Kate laisse tout de même échapper des râles bruyants. Leonard se retire et te pousse sur le côté. Nous nous approchons de toi, Kate se place au milieu de nous et nous branle, orientant notre queue en direction de tes seins. Tu gis au sol, exténuée. Je suis le premier à te jouir dessus suivi rapidement par Leonard. C’est à ce moment, ton corps couvert de sperme, que je te souhaite un joyeux anniversaire mon amour.

Je remercie Kate et Leonard de l’entreprise Titanic Inc. et te rejoins au sol pour te blottir dans mes bras. J’espère que tu as aimé.

Le language a la saveur du réel. C’est pourquoi, au moins chez moi, le mot « sein », par exemple, provoque immédiatement une excitation. Quoique, peut-être pas le mot « sein » tout seul, comme ça. Ajoutons-lui un qualificatif : « sein nu ». Vous le voyez ce sein nu ? Il a la taille, il a la forme que vous voulez. Et donc, forcément, il vous plait, il vous excite. Non ?

Le language a la force de l’évocation. Pas besoin de préciser que le sein est nu, il suffit de le suggérer. Regardez cette phrase : elle souleva son t-shirt pour me montrer ses seins. Là, vous avez à la fois le sein nu, et il a toutes les caractéristiques physiques qui vous excite, mais vous avez également le visage de la femme, évidemment belle, belle pour vous et donc sûrement pas de la même manière que pour moi. Vous avez peut-être toute la forme de son corps, le geste pour soulever son t-shirt. Sa manière qu’elle a de vous regarder, avec du désir dans les yeux, ou du défi, ou encore une simple sourire taquin. Cette histoire vous appartient, elle n’est suggérée que par neuf mots , mais elle prend pleinement vie dans votre imagination, avec vos goûts, avec vos fantasmes, avec votre histoire.

Lorsque j’écris ces mots : elle souleva son t-shirt pour me montrer ses seins, je ne peux m’empêcher de te voir toi. Toi qui partage ma vie depuis si longtemps. Toi qui ne fais pourtant jamais ce geste. Toi que je désire encore, même si je désire aussi d’autres corps, même si j’ai le droit d’accéder à d’autres corps. Peut-être même parce que j’ai ce droit et que toi aussi, tu as ce droit. Alors, quand j’écris ces mots, c’est toi que je vois et je bande. Je bande assis sur la banquette du train. Et j’aime bander comme ça au milieu des gens qui ne savent pas. Ils ne savent pas que je pense à toi et surtout, ils ne savent pas que je bande.

J’aime sentir mon sexe gorgé de désir. J’aime laisser mon imagination se promener dans des paysages érotiques. Je me demande si ça se voit. Mon érection, évidemment. Mais aussi le désir dans mes yeux. Est-ce que ça excite quelqu’un autours de moi?

Mon écriture est stoppée par la contrôleuse que je vois regarder en direction de mon carnet pendant que je cherche mon billet et qui me fait un grand sourire lorsque je le lui tends. N’aller pas imaginer que je vais tomber dans la facilité et vous faire croire que je suis allé baiser la contrôleuse dans les WC. Mais vous aura raison, la contrôleuse nous rejoint dans mon imagination. Elle s’approche de toi et retire entièrement ton t-shirt, elle attrape tes seins lourds (désolé si vous aviez imaginer des petits seins, mais je ne peux pas trahir le réel !) et les caresse avec passion. Je pourrais vous rejoindre, mais je suis un voyeur et ma position dans ce fantasme non seulement me convient bien (c’est quand même mon fantasme) mais reproduit assez bien ma position dans ce train.

Bref. Elle attrape tes seins et t’embrasse avec passion. Tu lui retires sa veste de contrôleuse ainsi que sa chemise. Elle ne porte pas de soutien-gorge (j’adore cette idée…) et a de magnifiques petits seins pointus (ne me dites pas merci).

L’imagination est comme le rêve et ne s’embarrasse pas (toujours) de vraisemblance. Tu es donc entièrement nue sur le lit, les jambes repliées et écartées. La contrôleuse est nue aussi. Elle te lèche la chatte, je le sais à tes gémissements. car je ne vois que son cul. Je suis nu aussi et je me caresse en vous admirant. Je m’approche (enfin ?) et pénètre la contrôleuse (je vous laisse choir où). Je te regarde prendre du plaisir, je regarde tes seins tant aimés et je m’agite dans la contrôleuse. Lorsque j’entends sa vraie voix annoncer l’imminence de mon arrêt, je sais que je dois accélérer ce texte. Elle glisse alors une main entre ses jambes pour me caresser les couilles, elle « sait » que c’est imparable, et lorsque le train ralenti, nous jouissons les trois en même temps (je vous rappelle que c’est mon histoire !).

Zut, je n’ai pas le temps d’écrire la fin, je dois vite ranger mon carnet et desc…

Il y a cette photo sur Instagram
La bouche entre’ouverte,
La langue qui pointe le bout de son nez.
On sent la beauté du visage, sans vraiment le voir.

Il y a ses mots, érotiques et subtiles.
Ses histoires courtes qui racontent un long et passionnant voyage
Un voyage au cœur du plaisir.

Il y a son corps, magnifique,
Attirant.

Alors l’imagination s’affole,
Reconstruit les bouts manquants,
Explore les courbes, les zones enfouies.

L’imagination permet tout, y compris de s’affranchir de la distance.
Les corps se touchent, se parcourent.
Les mains caressent, les langues goûtent.
On imagine les odeurs, les saveurs.
On imagine les gémissement.

Le corps réel, lui suit fidèlement l’imagination.
Il est tendu, la peau est sensible.
Le souffle s’accélère et le liquide coule au moment où dans le rêve les corps jouissent.

Merci pour ce joli moment. Merci pour le partage @peaufiner_lamour

Julie vient de rentrer d’Inde et me propose une expérience apprise là-bas. Elle me briefe d’abord sur le déroulement de la séance, puis nous nous déshabillons chacun derrière un paravent. Une fois nus, nous sortons en même temps et allons nous placer l’un en face de l’autre en tailleur sur un zafu.
Je ne peux m’empêcher de regarder son corps. Il est beau. Très beaux. Ses seins sont exactement comme je les aimes. Son sexe est rasé et ses petites lèvres sont proéminentes. Mon sexe se gorge déjà d’envie.

Dans cette position, l’un en face de l’autre, nous nous regardons droits dans les yeux et commençons à respirer en cohérence. Inspiration de cinq secondes, expiration de cinq secondes. Mon sexe continue de se gonfler et il finit par se dresser droit contre mon ventre. Je ne sais si je suis comique dans cette position du lotus avec ma queue ainsi érigée ou si c’est tout de même un peu érotique.

Nous suivons les mouvement de la cithare et lorsque le rythme change, je pose ma main sur son sein. le caresse. Ses yeux se ferment. Cela dure un certain temps ainsi. Puis les rôles s’inversent. Mes yeux se ferment et je sens sa main se poser sur mon torse. C’est incroyablement puissant comme sensation. Au changement suivant, nous nous enchevêtrons. Jambes entre jambes, poitrine contre poitrine, visages dans nuques. C’est tendre, très tendre, et en même temps terriblement excitant. Chaque pose dure de longues minutes qui semblent quelque secondes tellement c’est fort.

Au mouvement suivant, Julie se couche sur le dos et mes mains parcourent tout son corps, doucement, subtilement. Puis les rôles, à nouveau, s’inversent.
Lorsque finalement elle me caresse le sexe, je ne peux m’empêcher de gémir.

A la position suivante, je suis toujours sur le dos, mais Julie est maintenant couchée sur moi. Ses tétons contre mon torse me rendent presque aussi fou que la pointe de mon sexe qui frôle le sien. Nous bougeons en harmonie, lentement, pour finir par nous emboîter en douceur. Nos mouvement suivent le rythme de la musique, très lent au début, mais qui accélère progressivement. Des tablas viennent augmenter la notion de cadence et le volume sonore augmente également. Par une sorte de magie mystique la musique explose dans un vibrant final exactement au moment ou nous jouissons ensemble.

Je reste à l’intérieur d’elle dans une forme de tendresse infine et nous restons là, sans nous endormir, dans une sorte d’état méditatif des plus agréables.

 

Elle m’avait dit, ce que je n’aime pas avec le nu, c’est que le photographe ne l’est pas. J’avais dit aucun problème, je comprends votre argument.
Je l’ai juste prévenue que je pourrais éventuellement avoir, par moment, une érection.
Elle m’avait dit aucun problème, je comprends votre situation.

Elle est arrivée et sa présence a illuminé le studio. J’ai fait quelques portraits.

Je lui ai demandé d’enlever sa chemise et j’ai enlevé la mienne. Je l’a prise en photo.
Je lui ai demandé d’enlever sa jupe et j’ai enlevé mon jeans. Je l’a prise en photo.
Je lui ai demandé si elle se sentait à l’aise, elle a dit oui. En souriant, avec les yeux. J’ai eu chaud.
Je lui ai demandé d’enlever son soutien-gorge. Je n’avais rien à enlever de mon côté. Je l’ai prise en photo.
Seins fermes, seins beaux, tétons bruns. Tétons érigés. J’ai essayé de ne pas y penser.

Je lui ai demandé d’enlever sa culotte et j’ai enlevé mon caleçon. Je l’ai prise en photo.
Des photos très épurées, à peine sensuelles. C’est que, j’avais peur de bander.

Elle m’a dit, le sourire dans la voix, vous ne vouliez pas faire une séance sur le plaisir féminin? J’ai toussé. Frémi et répondu que oui. Mais que, dans cette tenue, la mienne, donc, je n’en étais plus si sûr. Elle a rit. Elle s’est allongée sur le dos, a écarté les jambes et posé sa main entre elles. Elle m’a regardé. Un regard qui voulait me rappeler notre accord, la parfaite symétrie. J’ai posé ma main sur mon sexe. Je l’ai prise en photo.

Elle a caressé son sexe. J’ai caressé le mien.

Elle a jouit et moi aussi.

Elle s’est rhabillée. Je me suis rhabillé.

Elle m’a dit, c’est quand même mieux quand on est sur un pied d’égalité, non? J’ai acquiescé (et eu envie de très vite recommencer).

La salle de conférence n’est pas très grande. Je commence ma présentation légèrement stressé, les yeux rivés sur mon ordinateur. Mais petit-à-petit je me détends et peux  enfin regarder la salle. Je commence face à moi, hélas. En effet, une femme aux longs cheveux noirs se trouve au premier rang et me regarde intensément. Je continue ma présentation, un peu déconcentré tout en essayant d’éviter cette femme qui ne me plait pas vraiment. Je ne peux m’empêcher néanmoins de jeter de temps en temps des coups d’œil dans sa direction et les choses se compliquent assez vite. Je suis là, sur cette estrade pour encore vingt minutes et cette femme, face à moi, écarte lentement ses jambes en se mordant la lèvre. Même si elle ne m’attire pas, je dois lutter, sans succès, pour ne pas la regarder. Elle porte une jupe courte et je distingue une culotte noire et des bas. Bon sang, concentre-toi sur ta présentation. Je suis persuadé que l’assemblée se rend compte de quelque chose, car je commence à balbutier et à … bander. A chaque fois que je la regarde, elle a un geste discret mais clair: langue passée sur les lèvres, doigt qui longe le décolleté ou encore main qui glisse entre ses jambes. J’arrive enfin au terme de ma présentation et une fois la séance de questions passée, je file aux toilettes reprendre mes esprits. Lorsque je referme la porte derrière-moi, je sens qu’on me pousse en avant et j’entends la porte claquer. Je fais volte fasse et cette femme se trouve là devant moi. Elle me dit tais-toi et descend mes pantalons. Je bande encore et même si je ne suis pas attiré, je suis tellement surpris que je ne réagis pas. Elle commence à me sucer en me caressant les couilles. Très vite, son autre main attrape mes fesses et glisse un doigt dans mon cul. Je suis halluciné par ce geste qui d’habitude nécessite une certaine intimité. Mais je ne peux pas dire que je n’aime pas. Je suis prêt à éjaculer et le lui dit afin de pouvoir la baiser. Mais elle n’écoute pas et me suce plus fort.  je finis par jouir au fond de sa gorge dans un orgasme, ma foi, assez puissant. Elle se relève, ne dit rien et s’en va. Je reste quelque minutes les pantalons sur les chevilles abasourdi par ce qui vient de se passer, étonné d’avoir aimé ça…

Ca se voyait de loin. C’est qu’elle ne portait pas de soutien-gorge et son haut était très moulant. La triple bosse ne laissait aucun doute, elle avait les tétons percés. Mais pourquoi arborait-elle si ostensiblement cette marque? Savait-elle seulement l’effet que cela avait sur moi? Durant toute la durée entre le moment où elle est apparue au coin de la rue et celui où elle s’est retrouvée en face de moi, je ne pouvais détacher mon regard de ses seins. Même si elle n’a rien dit, je suis sûr qu’elle l’avait remarqué. En plus, elle en avait un autre sur la lèvre inférieure, me faisant ainsi découvrir ses belles lèvres pulpeuses. La suite allait être compliquée.

Nous sommes entré dans le bar, avons commandé du vin et nous nous sommes mis à la tâche. Son trait était fluide et j’aimais beaucoup ses dessins. Ils égayeraient à merveille mon site web. La première demi-heure fut assez efficace, finalement. Mais petit-à-petit, la conversation dévia vers des sujets moins professionnels et mon regard se faisait de plus en plus désirant.   Je finis par aborder son piercing à la lèvre, le seul  officiellement visible, suggérant maladroitement sa dimension érotique et quêta fébrilement sa réaction.  Que pensez-vous alors des piercings aux tétons, me demanda-t-elle. Je ne pus m’empêcher de baisser le regard à la hauteur des siens et dit, avec de l’envie dans la voix, que je trouvais ça très beau, très excitant même, mais que,  hélas, je n’avais jamais eu l’occasion d’en voir en vrai. Sur ce, elle me rétorqua que c’était dommage car les seins étaient beaucoup plus sensible et donc procuraient plus de plaisir.

Une demi heure plus tard, je me retrouvais dans la chambre de son appartement face à son corps entièrement nu. Il était magnifique. Je crois que je n’avais jamais vu de corps si beau. Des fesses absolument parfaites, des lignes fluides, un sexe appétissant et, bien sûr, des seins incroyables. ni trop petits, ni trop gros et surtout, avec des piercings. Quelques tatouages ici et là qui rythmaient son corps élégamment. Nous étions à un mètre l’un de l’autre. Elle m’avait dit simplement: regardez et s’était déshabillée. Lorsque je voulus m’approcher, elle me demanda d’attendre et retira ses deux piercings pour les remplacer par des anneaux. Venez toucher, m’invita-t-elle enfin. Je posai le doigt sur son téton pour en éprouver la consistance et non seulement il se durcit quasi immédiatement, mais ma partenaire soupirait déjà, les yeux fermés. Elle posa sa main sur mon entre jambe et constat l’effet de sa présence sur moi. Après m’être moi aussi dévêtu, je passais un long moment à jouer avec ses seins, les embrasser, les lécher, les suçoter, mais aussi, puisqu’elle avait choisi d’y mettre des anneaux, de les tirer, les pincer et chaque contact provoquait un soupir plus marqué. Elle était vraiment très sensible des seins. Ensuite elle me guida dans mes caresses tout en me branlant et eu un premier orgasme, juste avec les seins. Elle serra si fort ma queue en jouissant que je jouis également.  Mon sperme coulait sur son ventre lorsqu’elle me demanda de le lécher. Je l’avais déjà goûté une fois, tout seul, pour savoir. Mais là, il y en avait beaucoup. Je me débrouillais donc pour lécher les parties les moins touchées et choisit un chemin qui menait lentement à son sexe aux lèvres sublimes. Au premier contact de langue sur le clitoris, elle laissa échapper un petit cri. Décidemment, elle était très sensible. Elle posa ses mains sur ma tête et me guida une fois encore. En bougeant son bassin, elle m’offrait à lécher chaque millimètre de son entre-jambe, y compris l’anus. Ma langue tournoyait, se faisait dur ou plate,  léchait en long ou explorait les cavités, ma bouche faisait des succions, des baisers, des petits coup de dents et elle eu assez rapidement son deuxième orgasme. Ensuite elle se mit à quatre pattes devant moi, m’offrant son cul parfait au regard. Remplissez-moi, me dit-elle. Je m’approchais et glissa deux doigts dans sa chatte abondamment trempée. J’avais aimé gouté son jus et j’aimais le sentir maintenant autour de mes doigts. Elle me redit, sur un ton plus ferme, remplissez-moi. J’ajoutai donc un 3ème doigt et bougeaient en elle assez fermement. J’ai dit remplir! Insista-elle. Je compris enfin et glissai un doigt dans son cul. Elle soupira d’aise. Ses halètements se faisaient de plus en plus fort et rapprochés, Je remplaçai donc mes doigts par mon sexe à nouveau en érection et agrippai ses hanches pour la pénétrer le plus profondément possible et, à sa demande, lui enfila deux doigts dans l’anus, elle était déjà tellement excité qu’elle jouit à nouveau. Son orgasme arriva par vagues successives et progressives me donnant le temps de jouir en elle. Elle poussa un long cri final au moment ou tout mon corps se tendit dans un jet puissant au fond de son antre et nous nous écroulâmes au sol, dégoulinants de sueur, de foutre et de mouille.

Entre en moi, pour une fois

N’hésite pas, je crois que j’aime ça

Comme toi, d’ailleurs…

Un doigt, puis deux

Lentement, profondément

Entre en moi pendant que j’entre en toi

Ou va-t-elle dans ce train? Qui rejoint-elle? Son œil bleu-gris, magnifique, regarde par la fenêtre. Jamais vers moi. Le mien, de regard, parcourt cette manifestation irréaliste du sublime. Je me perds dans ses cheveux qui me rappellent le blé juste avant la moisson. Je parcours la courbe de son front lisse, du nez menu, des lèvres charnues pour atterrir dans son cou que je crève d’envie d’embrasser. Ma respiration se raccourcit et mon imaginaire s’enflamme. Je la rêve se levant pour se rendre aux WC, me lançant un regard sans équivoque. Je me vois la suivre et me glisser après elle dans le lieu exigu. Nous nous embrassons fougueusement, comme deux jeunes amants après de longs mois de séparation. Je glisse mes mains sous son pull et repousse son soutien-gorge vers le haut sans le dégrafer. Je malaxe ses seins que je fantasme parfaitement à mon goût. En pointe, les mamelons bruns foncés, le téton très érectile. Comme une urgence, une nécessité, elle attrape ma queue à travers le pantalon et habilement la fait émerger. Elle me branle vite pendant que d’un geste unique et rapide, je fais descendre le sien et sa culotte sur ses cuisses. Elle finit de l’enlever et vient s’empaler sur ma queue, un pied sur la cuvette des WC. Elle s’agrippe à mes cheveux. Je m’agrippe à ses fesses et la baise brutalement. Nous finissons par jouir très vite. Billets, s’il-vous-plait! Le contrôleur me sort du rêve si agréable dans lequel j’étais plongé. Des larmes coulent doucement le long de ses joues tandis qu’elle reste fixée vers un ailleurs qui n’est sûrement pas le paysage qui défile devant nous. Je ne sais pas encore si je vais lui proposer un mouchoir et engager la conversation…

La ruelle est étroite. Bordée sur sa gauche par une barrière qui empêche la chute dans une large cour en contrebas. Les fenêtres du deuxième étage sont à hauteur de vue. Tous les matins, je regarde à travers elles les décorations, les meubles. C’est un bel immeuble du XVIème siècle et les appartement ont un cachet fou. Je laisse mon imagination se promener le long des poutres en bois, sur les parquets que je devine sonore sous le pied, les cheminées en pierres si utiles en hiver. Je les redécore à ma guise, en particulier cet appartement vide qui attise tout mes fantasmes. Bien que, grosse déception, il commence à se meubler et je dois abandonner l’idée d’y emménager un jour. Qui sont ces cons qui me volent mon rêve?

Ce matin, j’ai eu la réponse.

Comme d’habitude, je plonge mon regard dans les appartements précédents, mais très vite je constate quelque chose d’étrange. Cela bouge à la fenêtre! Plus je m’approche, plus je devine le corps nu d’une femme contre la fenêtre. Ses aréoles écrasées contre la vitre froide. De belles aréoles brunes qui captivent mon regard. Je suspend mon trajet sans m’en rendre compte, hypnotisé par la scène. Je devine par instants le corps d’un homme derrière. Un corps qui presse encore plus celui de la dame contre la fenêtre.  Ses seins semblent énormes ainsi compressés.

Mais voilà que le regard de la femme attrape le mien. Ma respiration se suspend. Je suis pétrifié. Mais elle plonge dans mes yeux, souris et passe sa langue sur sa lèvre supérieur. Elle m’inclut dans leur jeu et je comprends maintenant pourquoi ils sont à la fenêtre. La ruelle étant généralement peu fréquentée, je tente de poser ma main entre mes jambes. La dame me fait un coup d’oeil semblant demander d’aller plus loin. Pour me motiver, elle se tourne et m’offre la vue de son corps penché en avant, ses seins pendant dans le vide, comme si elle savait que c’est une vue qui à la particularité de m’exciter au plus au point. Le mâle suit le mouvement et se place derrière elle, attrape ses hanches et enfile son sexe incroyable au plus profond de son corps. Il entame des va-et-vient violents tout en fessant le cul rebondi de la charmante dame qui se mord la lèvre qui continue de me fixer. Je regarde autour de moi et fais glisser ma braguette. Je sors mon sexe et vois le sourire satisfait de la femme. Elle mime une fellation incitant ma main à suivre le mouvement. J’oublie presque où je suis. L’homme s’active de plus en plus plus violemment et je crois entendre la femme crier malgré les fenêtres fermées. Cela ne l’empêche pas de fixer mon sexe et je me branle de plus en plus vite pour finir par éjaculer sur le sol (et aussi un peu sur mon jeans…).

La femme me fait un petit signe de main et ils s’éloignent de la fenêtre. Je repars sur le chemin du travail. Je serai un peu en retard…