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Tu marches devant moi calmement. Je regarde ton cul qui se balance et je suis déjà excité par la suite. Excité quoique tendu également. Je n’ai jamais fait ça. Je sais exactement quel chemin tu vas emprunter et plus on se rapproche du lieu, plus je suis excité. C’est fou, je bande déjà et en même temps, j’ai les mains moites, la gorge serrée, le souffle court.

Tu tournes à droite, comme prévu, dans cette petite ruelle étroite. Leonard et Kate sont là. J’accélère le pas et lorsque tu arrives à leur hauteur, je suis tout près de toi. Soudain, iels te font face. Je me colle dans ton dos, pose une main sur ta bouche pour te garder silencieuse et immobilise tes bras. Je te bascule en arrière pendant que Leonard se saisit de tes jambes. Tu te débats, en vain. On se glisse rapidement dans l’immeuble et on t’entraîne au sous-sol.

La pièce est sombre, juste éclairée par une ampoule nue. Je sens ton cœur battre fort dans ta poitrine. Très habilement, Leonard et Kate t’attachent à une croix en X et te bâillonnent à l’aide d’un foulard. Tu es là, face à moi, totalement impuissante. Toustes les trois, nous te regardons longuement pour te laisser le temps de prendre la mesure de ce qui t’arrive.

Leonard et Kate s’assoient chacun.e sur un fauteuil et me laissent le champ libre. Je m’approche de toi en te fixant dans les yeux. Je retire un à un tes vêtements que je dois déchirer à cause de tes liens. Je prends une paire de ciseaux pour couper ton soutien-gorge et ta culotte en prenant soin d’appuyer le métal froid de la lame contre ta peau. Je me recule pour admirer ton corps et ton extrême vulnérabilité. Ton souffle inquiet m’excite. Tu sais que tu ne pourras te soustraire à rien.

Je m’approche et commence par passer ma main doucement sur tout ton corps. Je caresse ton visage et enfile mon pousse dans ta bouche. Avec le bâillon, cela te fait baver. J’empoigne tes seins et pince tes tétons sur lesquelles je tire pour éprouver leur élasticité. Je descends doucement ma main le long de ton ventre, toujours en te fixant intensément, et je caresse l’intérieur de tes cuisses avant de venir poser ma main à plat à l’entrée de ton sexe. Tu es trempe, Camille. Je pousse légèrement mon majeur contre tes lèvres et il entre tout seul en toi. Je glisse alors un deuxième, puis un troisième doigt. Je crois deviner un gémissement. J’attrape alors sur le côté un petit martinet et commence à donner des petits coups sur ton clitoris. J’augmente l’intensité des coûts et tu laisses échapper des cris qui semblent être à moitié de douleur, à moitié de plaisir. Je frappe alors tes seins avec la même graduation d’intensité. À ce moment, Kate pause sa main sur mon épaule. Je tourne la tête et vois qu’elle est entièrement nue. D’un geste de la tête, elle me fait signe de m’écarter. Je vais alors m’asseoir là où tu étais assise, ce qui me permet de constater que Léonard également est nu. Sa queue est impressionnante de largeur et de longueur. Il bande vigoureusement et se caresse en te regardant. Kate s’accroupit et commence à te lécher. Ses jambes sont très écartées et elle se caresse pendant qu’elle te lèche. Entre-temps, je me suis également déshabillé et je me branle en vous regardant.

Kate se relève et actionne un mécanisme qui fait que la croix sur laquelle tu es attachée pivote et tu te retrouves en position horizontale. Kate prend un tube de lubrifiant et s’en badigeonne copieusement la main. Entre tes jambes, elle te caresse la chatte, permettant au lubrifiant de se déposer sur tes lèvres. Kate entre ensuite ses doigts l’un après l’autre en toi. Méticuleusement, elle prend la peine de t’assouplir le vagin pour finir par avoir la main en toi. Cette fois-ci tes gémissements sont clairement des gémissements de plaisir. Le plaisir de la tension importante à laquelle ta chatte est soumise. A ce moment-là, Leonard se lève et se positionne à côté de ta tête. Il retire ton bâillon et sans te laisser le temps de dire quoi que ce soit t’enfile sa grosse queue dans la bouche. Son épaisseur déforme tes lèvres et lorsqu’il commence à te baiser la bouche, tu peine à respirer. Te voilà remplie comme jamais.

Je vous rejoins et te place sur les tétons des pinces en métal. Tu halètes, au bord de l’implosion. Je viens me placer entre tes jambes. Kate retire sa main et détache tes chevilles. Je pose tes mollets sur mes épaules, répand un peu de lubrifiant sur ma queue et à l’entrée de ton cul. Je pose la pointe de mon gland contre ton anus et je pousse jusqu’à ce que je sois entièrement en toi. Kate te frotte vigoureusement le clitoris, agrémentant le tout par des claques. Tu enchaînes les orgasmes. Et si tu n’étais pas attachée, tu t’écroulerais probablement de fatigue.

Sur un signe de tête de Leonard, je vais m’allonger par terre. Leonard te détache mais te tient fermement. Il te dépose sur moi, allongée sur le dos. Mes bras immobilisent les tiens. Leonard dirige ma queue dans ton cul, puis enfile la sienne dans ta chatte. Je sens son énorme bite à travers la paroi fine de ton vagin. Je bouge à peine, déjà mis en mouvement par les coups secs et violents de Leonard. Tu as à peine le temps de gémir que Kate vient s’asseoir sur ton visage. Elle se frotte vigoureusement contre toi tout en attrapant la chaîne qui relie les pinces et tire dessus pour éprouver tes tétons déjà trés sensibles.

Ta bouche pleine de la chatte juteuse de Kate laisse tout de même échapper des râles bruyants. Leonard se retire et te pousse sur le côté. Nous nous approchons de toi, Kate se place au milieu de nous et nous branle, orientant notre queue en direction de tes seins. Tu gis au sol, exténuée. Je suis le premier à te jouir dessus suivi rapidement par Leonard. C’est à ce moment, ton corps couvert de sperme, que je te souhaite un joyeux anniversaire mon amour.

Je remercie Kate et Leonard de l’entreprise Titanic Inc. et te rejoins au sol pour te blottir dans mes bras. J’espère que tu as aimé.

Ou va-t-elle dans ce train? Qui rejoint-elle? Son œil bleu-gris, magnifique, regarde par la fenêtre. Jamais vers moi. Le mien, de regard, parcourt cette manifestation irréaliste du sublime. Je me perds dans ses cheveux qui me rappellent le blé juste avant la moisson. Je parcours la courbe de son front lisse, du nez menu, des lèvres charnues pour atterrir dans son cou que je crève d’envie d’embrasser. Ma respiration se raccourcit et mon imaginaire s’enflamme. Je la rêve se levant pour se rendre aux WC, me lançant un regard sans équivoque. Je me vois la suivre et me glisser après elle dans le lieu exigu. Nous nous embrassons fougueusement, comme deux jeunes amants après de longs mois de séparation. Je glisse mes mains sous son pull et repousse son soutien-gorge vers le haut sans le dégrafer. Je malaxe ses seins que je fantasme parfaitement à mon goût. En pointe, les mamelons bruns foncés, le téton très érectile. Comme une urgence, une nécessité, elle attrape ma queue à travers le pantalon et habilement la fait émerger. Elle me branle vite pendant que d’un geste unique et rapide, je fais descendre le sien et sa culotte sur ses cuisses. Elle finit de l’enlever et vient s’empaler sur ma queue, un pied sur la cuvette des WC. Elle s’agrippe à mes cheveux. Je m’agrippe à ses fesses et la baise brutalement. Nous finissons par jouir très vite. Billets, s’il-vous-plait! Le contrôleur me sort du rêve si agréable dans lequel j’étais plongé. Des larmes coulent doucement le long de ses joues tandis qu’elle reste fixée vers un ailleurs qui n’est sûrement pas le paysage qui défile devant nous. Je ne sais pas encore si je vais lui proposer un mouchoir et engager la conversation…

Je regarde vos photos: la pureté de vos courbes, l’harmonie du corps, le regard intense, le sein qui pointe, le sexe humide et voilà le mien qui se dresse. Je continue de parcourir vos photos et glisse ma main dans le short. Je suis dur, très dur. Votre image a des effets magiques! J’imagine ma langue sur votre corps. Vos tétons dans ma bouche, léchés, sucés, mordus. Votre chatte, ouverte, mouillée. Je la goûte, j’aime son goût. Vos lèvres sont ouvertes. Je les suces, les tire, les lèche. Je glisse ma langue en vous tout en frottant votre clitoris. Ma main entre mes jambes fait des va-et-vient, l’autre caresse mes couilles. Je vous pose sur une table. Sur le dos. Écarte vos jambes et vous regarde au fond des yeux. Je vous pénètre debout, profondément, lentement. Je caresse vos seins, pince les pointes. Je vais bientôt jouir en vous et dans ma main. Vous êtes belle lorsque vous jouissez. Mais je ne vous connais pas, du moins pas dans la vraie vie et je suis seul chez moi, du sperme sur le ventre et la queue minable.
Je m’en fous, c’était bon avec vous…

Texte écrit en anglais, puis traduit en français par Google:

Dans la salle de bain, j’enlève vos vêtements lentement, en essayant de vous toucher doucement de temps en temps. Lorsque vous êtes entièrement nu, je vous demande d’aller sous la douche, enlever mes vêtements et vous rejoindre sous l’eau. Je prends le savon liquide et la verser sur votre corps. J’écarte le savon sur tout le corps, passer plus de temps sur vos seins, jouer avec vos mamelons. Nettoyage de votre dos et votre belle fesses, entre les fesses. Parfois, je fais paître ta chatte. Ensuite, vous les jambes et laisser ma main va à nouveau, en suivant le chemin à l’intérieur de vos cuisses pour rejoindre le centre de votre monde. Le savon faire balayer, je me frotte la chatte, prendre soin du clitoris, faites glisser mon doigt entre les lèvres de sa chatte, l’introduire à l’intérieur de votre corps. Puis, j’enlève tout le savon avec la pomme de douche et commence à sucer les mamelons alors que nous sommes sous le jet. Je prends vos fesses entre mes mains et je joue avec le sillon qui va de la fin de votre dos jusqu’à ce que votre clitoris, le tout entre les jambes parties. Après un certain temps, je te prends dans mes bras pour vous porter au-dessus de mes hanches. Vous comprenez ma taille avec les jambes et je vous laisse descendre pour être pénétré par mon pénis. Lorsque vous avez entièrement à l’intérieur de vous, je poussez votre dos contre le mur et nous avons tous deux passer nos hanches afin d’augmenter la sensation du mouvement de ma bite à l’intérieur de vous. L’eau chaude est toujours tomber sur nos têtes. Nous nous déplaçons rapidement et plus profondément jusqu’à ce que je quitte la substance blanche exploser au fond de vous alors que vous vous sentez un orgasme puissant que contrat de votre ventre. Nous tombons presque sur le sol, les jambes molles en raison de l’orgasme et nous restons comme ça, sous la douche, pendant de longues minutes ….

La sublissime femme blonde promenait ses seins énormes qui balançaient au rythme saccadé des talons aiguilles d’au moins 40 cm qui frappaient les pavés de la rue des Champions. A quelques mètres derrière, suivaient des centaines d’hommes et quelques femmes. Les premiers bandaient allègrement et les secondes étaient trempées. On pouvait voir les sexes turgescents gonfler les pantalons jusqu’à la limite de la rupture du tissu. On pouvait  apercevoir les abondantes sécrétions vaginales couler le long des cuisses. Et on sentait le plaisir d’être désirée par celle qui tourna au coin de la rue pour s’enfiler dans une impasse. Au fond de celle-ci, elle fit demi tour et toisa d’un regard de défi l’attroupement en rut. La tension était palpable. Intense. Trop intense. Elle fut brisée par l’héroïsme sans limite de l’un des hommes qui arracha d’un geste précis la robe blanche et permis de constater l’absence de sous-vêtement de la sublissime femme blonde. Il s’ensuit une orgie indescriptible ou tous les trous furent explorés, remplis,  auscultés, pilonnés, et j’en passe. Les queues énormes s’affairaient et libéraient des jets puissants, les chattes coulaient telle des fontaines, les râles  couvraient les bruits de la ville. Le bonheur était ultime, divin, infini.

Et chacun rentra chez soi retrouver sa petite vie médiocre…

Moi je veux te faire des bisous
Des bisous partout
Des bisous dans le cou
Des bisous derrière les genoux
Des bisous sur le dos de la main
Des bisous sur la pointe des seins
Des bisous sur les cils, des bisous sur le nombril
Des bisous à l’intérieur des cuisses
Des bisous plus haut, entre les cuisses
Avec la langue
La langue à plat le long des lèvres
La langue ronde qui entre
Qui glisse entre les lèvres
La langue qui s’enfonce
La langue qui bouge, qui tourne, qui lappe