You are currently browsing the monthly archive for mai 2012.

Moi je veux te faire des bisous
Des bisous partout
Des bisous dans le cou
Des bisous derrière les genoux
Des bisous sur le dos de la main
Des bisous sur la pointe des seins
Des bisous sur les cils, des bisous sur le nombril
Des bisous à l’intérieur des cuisses
Des bisous plus haut, entre les cuisses
Avec la langue
La langue à plat le long des lèvres
La langue ronde qui entre
Qui glisse entre les lèvres
La langue qui s’enfonce
La langue qui bouge, qui tourne, qui lappe
 

Marabout
Bout de ficelle
Selle de cheval
Cheval de trait
Traite-moi mal
Mal parti
Partie de jambes en l’air
L’air d’un con
Con poilu
Lutiner la chatte
Chatte trempée
Périnée
Nécrophile
Filiforme
Forme de queue
Queue tendue
Durcissement
Mentir
Tirer un coup
Cou léché
Lécher l’anus
Anus dilaté
Théorie de l’amour
Amour à mort
Mords-moi les seins
Seins menus
Menus des jouissances
Jouissances coupables
Blasphémer
Mes parties intimes
Intimes attouchements

 

Elle avait besoin d’un soutient en statistique.

Sa voix au téléphone m’avait parue enfantine. Et pourtant, elle était en train de terminer son master. Ce qui devait lui faire au moins 22 ou 23 ans. Je n’étais pas très emballé par cette entrée en matière, mais j’avais besoin d’argent. Nous décidâmes de nous voir une fois par semaine, autant de fois que nécessaire. Chez elle.

Le premier contact visuel confirma l’impression donnée par téléphone. Je lui aurais donné 18 ans au plus. J’appris plus tard qu’elle en avait 26.

Relativement rapidement, elle m’insupporta par sa voix nasillarde et je me maudissais d’avoir accépté. Pourtant, avant la fin de la première scéance, une phrase anodine, ou non, me la fit considérer sous un autre jour « Voulez-vous voir mes courbes? Uhu, je voulais dire: voulez-vous voir les courbes que j’ai générées avec le programme? » Etait-ce un lapsus? Etait-il révélateur? Etait-il conscient? Intentionnel? Dans le doute, je sortis un instant du costume de professeur afin d’observer son visage, ses seins, sa nuque et ses cuisses. Ma foi, sa voix m’avait caché un trésor de finesses. Un visage de femme-enfant aux lèvres voluptueuses et aux yeux pétillants, des seins apparemment bien fermes malgré le gros pull qui les recouvrait et une nuque que l’on avait immédiatement envie d’embrasser. Heureusement, le cours touchait à sa fin, car ma concentration s’était perdue dans ses cheveux.

J’arrivais à notre second rendez-vous dans une tout autre disposition. Elle aussi apparemment. En effet, le gros pull avait disparu au profit d’un sweat au décolleté révélateur. Ses seins étaient sublimes et je les regardai durant tout le cours. Je n’osais malgré tout rien tenter, craignant d’avoir sur-interprété des signes qui n’en étaient peut-être pas. Y compris lorsqu’elle me dit « J’aimerai faire les préliminaires. Oooops, je veux dire les analyses préliminaires. »

Le troisième cours ajouta deux éléments à mon intuition. Définitivement disparu le gros pull et apparition d’une jupe se terminant à mi-cuisses laissant apercevoir en de rares mais agréables occasions la limite des bas. Mais je me dis qu’elle devait sûrement voir son copain juste après le cours. Pas plus de réaction lorsqu’elle me dit, de son air ingénu « C’est juste, la différence entre la loi Normal et la loi de Student, c’est que la dernière à de plus grosses queues? », d’autant plus que c’est rigoureusement vrai!

Je n’eu plus aucun doute lorsqu’au quatrième et dernier cours, nous avions en effet presque complètement résolu son problème de statistiques, elle m’ouvrit la porte vêtue d’un chemisier transparent ne cachant rien de ses tétons qu’elle avait brun foncé.  Je restai un peu bouche bée devant ce spectacle franchement excitant et je ne pus contenir mon érection. Etait-ce un manque de confiance en moi? Etait-ce l’étrangeté de la situation? Bref, je me dirigeai comme si de rien n’était à son bureau, tentant de reprendre mes esprits. Je crus sentir qu’elle riait dans mon dos, d’un rire tendre. Elle s’approcha de la table et attrapa son sac déposé par terre en prenant soin de me montrer qu’elle ne portait pas de culotte non plus. Je pus ainsi voir qu’elle avait de très grandes lèvres qui émergeaient fièrement de sa fente. Je n’eu pas le temps de réagir que la voilà assise sur sa chaise, prête pour le cours, un léger sourire posé sur sa bouche. Je décidai de faire comme si de rien était, mais d’employer le vocabulaire le plus ambigu possible. A la première allusion, elle réagit comme je l’espérais depuis longtemps. En effet je lui dit, dans un franglais parfait qu’il fallait maintenant « plotter » les queues pour commencer les préliminaires. Elle posa donc sa main non pas sur le clavier de l’ordinateur, mais sur mon sexe tendu et le pelota. Ainsi nous pûmes admirer nos courbes et nos droites, plonger au coeur du problème, échanger des idées, pénétrer la complexité de la situation et aboutir à un résultat éclatant.