You are currently browsing the monthly archive for février 2012.

Le sexe autours du monde


Source: Tit Thinks it’s people

Tant de jolis petits culs surmontés de si vilaines faces
Je ne peux me résoudre à m’accoupler avec pareilles chimères, dites-vous?

Mais ne voilà-t-il pas l’arrogant disgracieux?
Au ventre proéminent et à la petite queue…

Peut-être que de critères moins stricts
Naîtraient des ébats salvateurs
Car la main, comme toute chose, finit par s’user
Et la solitude n’est bonne à personne

Voyons Monsieur, oubliez la tête et ne retenez que le sein galbé
Niez l’adipeux fondement et voguez dans ses yeux
Mieux encore, avec votre disharmonie généralisée
Contentez-vous de celle qui vous tolère
Au risque de rester à jamais frustré.

Voilà qui est dit!

Bien à vous.

J’aime tes fesses pourquoi
J’aime tes fesses parce que
J’aime tes fesses pourquoi
J’aime tes fesses parce que
J’aime tes fesses pourquoi
J’aime tes fesses parce que
J’aime tes fesses parce que
J’aime tes fesses
J’aime tes fesses
J’aime tes fesses
J’aime tes fesses
J’aime tes fesses
J’aime tes fesses
J’aime tes fesses
J’aime tes fesses pourquoi
J’aime tes fesses parce que
J’aime tes fesses pourquoi
J’aime tes fesses parce que
J’aime tes fesses pourquoi
J’aime tes fesses parce que
J’aime tes fesses parce que
J’aime tes fesses
J’aime tes fesses
J’aime tes fesses
J’aime aussi ta langue, ton cerveau, tes sinus, ta glande thyroïdale et ton oesophage
J’aime aussi ton foie, ton foie, ton estomac, tes intestins, ta vessie et ton utérus

Sacha susurra son envie à l’oreille de Sarah
Aussitôt, Sarah ôta ses vêtements sans sourciller
Et Sacha put ainsi suçoter les seins de Sarah.

————————————————————-

Virginie voulait vraiment avaler une verge
Mais Virginie végétait seule sur son lit
Uniquement vêtue d’un voile violet et transparent
Le désir vrillé au ventre
Virginie se saisit de son vibrant ami
Et le vissa au plus profond d’elle-même
Jusqu’à ce son vagin fut vaincu.

————————————————————-

Mets tes mains sur moi, me dit-elle
Malaxe mes melons sans ménagement
Et mange mon humidité abondante
Lèche mes lèvres couvertes du liquide légèrement gluant
Glisse ta langue dans la lagune
Et loue ma féminité langoureuse
Mêlons-nous, aimons-nous, lions-nous
Commettons le meurtre ultime
Dans la meurtrissure des membres rougis
Hurle!
Hurle mon nom
Et procure-moi l’extase mystique
Qui me transformera en Madone.

————————————————————-

Qui l’eut cru que tu pus ainsi culbuter mon cul?

————————————————————-

Son sexe suave sentait l’eau de source, le sous-bois et la citrouille.

————————————————————-

mmmmh!
mmh!
mmmmmmh!
mh!
h!
mmh!
Soupirait-elle pendant que le membre massif se mouvait en elle.

————————————————————-

Oooooooooooooooooooooooooooooooh noooooooooooooon! Pas déjà…

André pénétrait lentement Brigitte
Brigitte léchait le sexe humide de Carmen
Carmen passait sa langue autour du gland de David
David mordillait le téton droit d’Emmanuelle
Emmanuelle avalait profondément la queue de Fabrice
Fabrice tentait de faire entrer un quatrième doigt dans la chatte de Gisèle
Gisèle gémissait assez fort
Car Henri, en plus, glissait un doigt dans son cul
Irène, couchée sous Henri lui léchait les testicules
Jacques, lui, suçait goulûment le clitoris d’Irène
Jacques était donc à quatre pattes
Ce qui offrait la possibilité à Karine de passer sa langue sur l’anus de Jacques
Jacques était chanceux, car il y avait aussi Léa qui s’occupait de lui
Léa, donc, branlait Jacques
Matthias était secrètement amoureux de Léa
Ainsi, il était tout ému de pouvoir lui caresser les seins
Des seins si beaux
Selon lui
Car ils étaient petits
Olivia au contraire avait une poitrine généreuse et très sensible
Olivia frottait donc ses seins sur le dos de Matthias
Et elle aimait ça
Patrick voulait enculer Olivia, mais n’osait pas
Il se contentait de jouer timidement avec son anus
Et offrait le sien à Quentin, pas timide du tout, lui
Rebecca guidait Quentin
Ca l’excitait de voir deux hommes
Sophie récoltait le jus de cette excitation avec sa langue
Elle allait même la chercher au fond du puits
Tristan faisait des va-et-vient entre les seins de Sophie
Et n’allait pas tarder à éjaculer
Sur son visage
Evidemment
Ursula avait un léger accent allemand
Mais on ne l’entendait pas à ce moment-là
La bouche remplie de l’énorme queue de Valentin
Et les doigts frottant vigoureusement la fente de Sophie
Valentin, entièrement happé par la bouche d’Ursula ne se rendait même pas compte que William tentait d’assouplir une entrée jusque là inusitée
William, le fourbe, pourrait-on dire
Mais aussi William l’innovateur
Car lui non plus n’était jamais passé par là
Bien que, pour l’instant, le sexe de William se trouvait bien au chaud dans la bouche de Xena
Xena qui soupirait d’aise, tellement elle aimait se sentir ainsi remplie
La bouche pleine
Et la chatte également
Par la main, oui, la main de Yaël
Yaël qui n’aimait rien tant que repousser les limites
Et qui aurait bien voulu une deuxième bite dans son antre trempé
Mais pour l’instant, il n’y avait que celle de Zaccharie
Suffisamment étroite pour laisser la place à un compère
André, par exemple
André qui pourrait se retirer de Brigitte et se joindre à Zaccharie dans le corps de Yaël
Et donner une nouvelle dynamique à cet ensemble hétéroclite
Mais heureux

Ce n’est pas sans une certaine appréhension que je prends la plume aujourd’hui pour vous écrire.

Voilà plusieurs années que je vous croise dans ce quartier et que vous avez sur moi un effet magnétique. Mais vous étiez trop jeune à l’époque et je suis trop vieux maintenant. Pourtant je sens entre nous comme un lien invisible et puissant. Une complicité évidente. Nous appartenons à la même famille et nous sommes si peu. C’est pourquoi, malgré la certitude qu’il ne se passera jamais rien entre nous, comme une malédiction, un décalage générationnel insurmontable, je me permets, après tant d’années, d’oser enfin m’ouvrir à vous.

D’ailleurs, quel âge pouvez-vous avoir? Vingt-cinq? Vingt-six ans au plus? Il y a bientôt 12 ans que j’ai perçu chez vous cette intensité mêlée d’ingénuité. Cette souffrance enfouie n’empêchant en rien une ouverture au monde, la constituant, même.
J’ai vu, au fil des saisons, votre visage, votre attitude se transformer dans le sens que je pressentais.

J’ai aussi vu votre corps devenir celui d’une femme. Vos seins, de menus, sont passés à arrogants. Non pas ostentatoires. Ils n’ont pas la rondeur pleine, débordante et qui ne font frémir que les hommes de peu de goût. Non. Ils sont arrogants parce que malgré leur taille humble, ils jettent en avant leur téton avides d’horizons nouveaux.

Combien de fois, dès le début, et avec un sentiment de culpabilité qui me rongeait, avec cette conscience sourde qu’une telle envie ne devait jamais exister, oui, combien de fois me suis-je imaginé leur forme précise, leur couleur, leur réactivité que j’éprouvais entre mes doigts, sous ma langue. Parce qu’il y a votre âme, bien sûr, mais il y a aussi votre corps. Et votre doux visage, car vous êtes belle, Madame. Cette fragilité trop évidente au début et qui pouvait vous desservir pour des yeux trop pressés, pour des imbéciles plus curieux d’eux-même que de l’autre. Physique ingrat, donc, comme ont sûrement dû dire certains décérébrés. Là où je voyais déjà la promesse d’une éclosion, d’un jaillissement du sublime. Et vous m’avez donné raison petit-à-petit. Vous avez apprivoisé cette fragilité pour en faire un atout imparable. Je vois bien les hommes se retourner sur vous maintenant. Je les sais bander instantanément et rêver vous chevaucher sans imagination. S’emparant de votre sexe comme d’un château fort. Brutal, sans la moindre attention à votre égard, persuadés qu’ils sont que leur virilité suffira. Alors que je vous sais raffinée dans les choses de l’amour. Même si raffinée n’exclue pas une certaine brutalité, ni l’exploration de certaine limites, bien au contraire. Car la souffrance vous est constitutive, y compris là. Combien de fois ai-je imaginé des scenarii pour vous combler? L’imagination s’affranchit des contingences du corps et permet ainsi des prouesses que mon corps vieillissant m’interdit désormais.

Voilà une autre raison qui nourrit ma certitude. Car en amour comme en toute chose, vos exigences sont élevées et malheur à celui à qui la chance est offerte de tenter de vous combler. Celui-là périra dans l’effort d’atteindre à la perfection que vous exigerez de lui. Celui que vous aller rejeter rapidement et qui va se morfondre jusqu’à la fin de ses jours d’avoir côtoyer de trop près un soleil incandescent. Car il est absolument faux et même absurde de penser, comme on l’entend parfois, qu’il faut se réjouir d’avoir pu partager, même un court moment, la vie de quelqu’un comme vous. Il paraîtrait que c’est mieux que de ne l’avoir jamais vécu. Moi je dis au contraire qu’il est, de loin, préférable, de n’avoir jamais fait cette expérience, car on n’en ressort pas indemne. Meurtri pour la vie.

Alors pourquoi je vous écris? Qu’est-ce que j’espère? Je dois bien vous avouer que je ne le sais pas moi-même. Il y a quelque chose de la nécessité, de l’urgence. Je n’en puis plus de rêver votre compagnie, sans que cela soit su. Rien, il n’y aura rien. Mais il y aura votre regard sur moi. Le regard, un peu flatté j’espère, de celle qui sait. Qui sait la force du désire qui m’habite.

Mes journées sont remplies de vous. Vous m’accompagnez au théâtre, au cinéma, aux expositions. Mes nuits sont pleines de vous. De votre corps. Laissez-moi, afin que vous soyez au courant de tout, vous dire que nous faisons l’amour tous les soirs. Que vos mains expertes parcourent mon corps frémissant. Vous savez si bien y faire.
D’abords, j’aime vous caresser à travers vos vêtements. J’aime tenter de faire se durcir vos tétons sans qu’il y ait eu encore de contact entre les peaux. J’aime glisser une main entre vos jambes et frotter doucement votre sexe par le bais de votre pantalon fin, permettant ainsi de sentir sous les doigts les courbes de votre Mont de Vénus. D’habitude, vous faites de même, même si la main se glisse rapidement sous la chemise, venant caresser ma poitrine. Mais ce petit jeu se termine vite par un effeuillement progressif, laissant apparaître de plus en plus de peau et de poils.

Je sais que je ne vous choque pas et je qu’il y a même une volupté naissante à me lire. C’est pourquoi je me permets de continuer un peu de vous décrire comment, soir après soir depuis longtemps, vous occupez mes nuits. Et j’insiste sur le soir après soir. Je n’ai pas eu de relation sexuelles, ni même de relations tout court depuis que je vous ai rencontrée.

Bref, les corps sont nus et désirants. Visible en cela par la fermeté de mon érection et par l’humidité de votre antre. Humidité à laquelle je m’empresse de m’abreuver. D’étancher ma soif de vous et de votre jus salé. Je vous lèche d’abord l’extérieur du sexe, les plis de l’aine, les grandes lèvres. Puis je fais ma langue dure afin d’accéder aux petites lèvres et à votre cavité. Parfois, je m’aide avec les doigts. Parfois je les utilise pour vous pénétrer. Ainsi, je peux sucer votre clitoris ou aspirer dans ma bouche vos lèvres, maintenant bien ouvertes.

J’aime à croire que non seulement vous me lisez toujours, mais que votre main s’active petit-à-petit sur la partie de votre corps que je viens de décrire. La mienne en tous cas attrape par intermittence mon sexe dressé en votre honneur.

Ma langue en vous, donc. Ma langue tournoyant maintenant à l’intérieur de votre con. Aidée par un nombre de doigts grandissant. J’aime vous imaginer prête à tous les exploits. Acceptant en vous non seulement un doigt, non seulement deux, mais réclamant un troisième. Guidant ma main vers votre bouche afin de venir lécher la substance issue de votre plaisir, mais aussi me signaler de combien puis-je encore vous pénétrer. Et il n’est pas rare que vous consentiez, dans un râle, à accepter tous les doigts d’une main, et même parfois la main entière.

Mais vous n’avez pas qu’un seul trou et je continue ensuite par derrière. Dans une danse proche de la danse précédente. Langue autour, puis langue qui entre. Anus qui se dilate, qui demande plus. Mon envie de vous bouffer le cul est immense et j’y glisse un doigt. Les autres, écartés suffisamment pour continuer de vous limer le vagin. De faire rouler le clitoris, de le frotter. Toute mon attention portée sur la méthodique malaxation de vos deux cavités odorantes et désirables.

Bien sûr, cela n’est que mon imagination, mais vous me lisez toujours et j’en déduis que non seulement vous aimez que l’on s’occupe de votre cul, mais en ce moment-même votre main ne frotte plus votre sexe à travers le pantalon, mais s’affaire en vous. De mon côté comme vous l’avez imaginé, je continue de de jouer avec mon gland et avec mes couilles.

Parlons-en des mes couilles. Après cette affairement sur vos parties intimes, vous désirez me rendre l’appareil et attrapez mon sexe turgescent d’une main ferme, tandis que l’autre vient se fermer sur mes boules. Geste en cela suivi par votre bouche qui vient avaler un de mes testicules. Vous entreprenez alors une inspection minutieuse avec votre langue et vos doigts de toute la partie de mon corps délimitée par mon gland d’un côté et mon anus de l’autre. Vous savez fort bien que le plaisir anal, y compris celui de la pénétration n’est pas réservé qu’aux femmes. Et d’ailleurs, pourquoi le serait-il. Il n’est en rien prévu à la sexualité reproductive.

Mais ces jeux ne sont que le prélude à ce qui suit. Et, allongé sur le dos, vous venez vous accroupir au-dessus de mes hanches. Descendant votre bassin doucement afin d’effleurer votre sexe contre le mien. Votre excitation est telle que votre mouille coule le long de ma queue et la pénétration n’en sera que plus facile. Vous prenez votre temps malgré tout et vous coulissez sur mon manche millimètre par millimètre jusqu’à à être entièrement assise sur moi. Mon sexe fouillant le fond de vos entrailles. Vous pouvez maintenant commencer le mouvement de va-et-vient tant attendu. Cette position me permettant de jouer avec vos seins. De les pincer entre mes doigts.

Ensuite, vous venez m’offrir le goût de nos deux sexes entremêlés. Assise sur mon visage dans un mouvement de balancier tout en me masturbant.

Êtes-vous toujours là? Que faites-vous avec votre corps? Voilà mon seul moyen de vous donner du plaisir. Comme j’aimerai pouvoir être assis en face de vous, vous regarder lire cette lettre et voir le plaisir charnel dans vos yeux. Voir votre main s’activer frénétiquement sur votre clitoris. Peut-être êtes-vous assise sur un gode? En harmonie avec la position décrite. Il va falloir vous mettre à quatre pattes alors, car la suite se passe en levrette. J’aime voir votre cul offert. J’aime cette opportunité du choix entre deux trous à combler et cette frustration de n’avoir qu’un seul sexe. Je commence donc par être classique, moralement acceptable et m’enfile entre vos lèvres encore ouvertes. Vous venez stimuler votre clitoris pendant que je m’affaire à vous limer profondément et à chaque contacte de nos cuisses, vous en profitez pour me caresser les couilles. Puis, je me retire et vient titiller votre plus petit trou. Au-dessus de lui, je laisser tomber un peu de salive afin de faciliter la pénétration et voilà que je suis dedans. Je sens quelque chose contre ma queue. Ce sont vos doigts qui sont venus compenser le fait que je ne peux combler vos deux trous en même temps. La parois fine entre votre vagin et votre anus me fait tout ressentir et décuple mon plaisir. Mes gestes deviennent plus violents, plus profonds, les vôtres aussi et votre voix se fait de plus en plus sonore pour terminer dans un râle long accompagnés de spasmes réguliers. Cette contraction précipite mon envie et dans une dernière lutte pour me retenir, je me retire et viens éjaculer sur votre poitrine.

Bien sûr, chaque soir, cette poitrine, c’est la mienne. Et chaque soir, je m’endors, le corps détendu mais l’âme en enfer d’être seul dans ce lit.

Par soucis de ne pas vous mettre mal-à-l’aise, je ne vais pas signer cette lettre. Il me fallait vous l’écrire. Il me fallait vous savoir la lire. Mais je ne peux honnêtement vous en demander plus.

Merci d’être encore là avec moi. Merci de lire ces dernières lignes. Allez vous lavez les mains et ne soyez pas trop dure avec ma pauvre existence.

Je vous aime.